Voyez comme on danse
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Réalisateur : |
Michel BLANC | ||
Acteurs : |
Karin Viard, Carole Bouquet, Charlotte Rampling, ... | |||
Genre : |
Comédie dramatique | |||
Durée : |
1 h 28 min | |||
Date de sortie : |
10/10/2018 | |||
Titre original : |
Voyez comme on danse | |||
Note "critique" : |
1,50 | |||
Classement 2018 |
97 / 108 |
Résumé : |
.O xx |
.O. Voyez comme ils dansent… Julien sent comme une présence hostile derrière lui en permanence. Alex, son fils apprend qu’Eva, lycéenne de 17 ans a oublié de le prévenir qu’il allait être père. La mère d’Eva, Véro, dans une sale passe depuis sa naissance pense qu’elle va être obligée d’arracher le sac des vieilles pour nourrir le futur enfant. Elizabeth, dont le mari Bertrand s’est volatilisé, voit sa maison dévastée par une perquisition. Lucie exaspérée par les délires paranos de Julien, son mari, est au bord du burn out conjugal. Serena, la maîtresse de Julien sent qu’il lui ment. Julien ne sent pas que Serena lui ment aussi. Loïc, fils ainé de Véro, seul élément stable de la bande ne l’est pas tant que ça. Sans oublier un absent toujours très présent… .O. |
Xavier |
.O. Le personnage autour duquel tourne la majeure partie des intrigues est le plus caricatural : Karin Viard joue un rôle qu'elle a déjà endossé 100 fois, celui de la mère de famille dépassée et fauchée qui tente de faire face avec quelques répliques censées faire mouche mais qui semble tellement écrites qu'elles ne provoquent qu'un lever de sourcil. Autour d'elle Jacques Dutronc et Charlotte Rampling viennent dire bonjour, les pseudo contre-emplois dans lesquels ils sont installés ne servant que de pastilles récréatives inintéressantes... Les problématiques de couples sont réduites à un marivaudage entre Jean-Paul Rouve et Sara Martins qui est la 8ème roue du carrosse avec de pseudo révélations tirées par les cheveux, les plus jeunes devants se projeté dans le couple entre William Lebghil (un des rares que je sauverai même s'il reste dans sa zone de confort) et Jeanne Guittet qui à un personnage assez tête à claques. J'ai entendu après la sénce quelqu'un dire "c'est marrant, ces personnages ont tous les problèmes du monde mais aucun problème d'argent" et je crois que c'est assez bien résumé. Tous vivent dans des appartements gigantesques, possèdent des bars ou des entreprises, vont en week-end à l'hôtel Hilton et vont ensuite essayer de nous faire le coup du "oh la dégringolade, elle est obligée de récurer les toilettes dans l'entreprise de son amie". Non, vraiment, il n'y a pas grand-chose à sauver de ce film qui tourne à vide et qui ne trouve pas sa place entre le film implanté dans la réalité et la pièce de théâtre qui part complètement dans le vaudeville... Un @ pour le casting et les quelques répliques qui font sourire ? Oui, mais vraiment pas un pouillème de plus ! |
Première : ¤ ¤ |
Studio / Ciné Live :
# ? |
.O. Portraitiste et dialoguiste hors pair, Michel Blanc signe une nouvelle comédie chorale efficace, sans doute moins originale et corrosive que la précédente mais bien au-dessus de la moyenne. .O. |
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